Je suis discrètement garé devant chez toi immobile dans mon van aménagé SM pour l'occasion.

La lune ronde initiatrice de ma métamorphose d'Homme-Loup et complice de mes exactions à venir, se réjouit de son sourire trompeur d'astre bienveillant.

Tel un fauve à l'affût de sa proie, je me fonds dans l'obscurité de la nuit profonde, mon alliée.

Au volant de mon véhicule à l'arrêt et à l'abri des regards des rares passants, je guette ton arrivée à la gare

Dans le faible halo d'un réverbère fatigué, tu t'aventures dans une rue déserte. Je te reconnais alors, c'est bien toi celle qui sera ma soumise

Tous sens affûtés je sors de mon véhicule et je me dirige vers toi, surgissant de nulle part, je te saisis brutalement .....

Couchée sur le lit du van, nue, telle une chienne excitée et affolée , écartelée, attachée il va sans dire, bâillonnée, un bandeau sur les yeux, tétons et lèvres de ton sexe écartées, pincées et reliées aux cloisons, empalée sur un plug anal.

Je suis au volant et nous roulons en direction de la forêt de Grésigne, les vibrations de la route, trous, virages, ronds-points et dos d'âne te procurent des sensations nouvelles, intenses et insoupçonnées entre plaisir cruel et voluptueuse douleur, entre peur et désir, tu voudrais crier bouger mais tu n'as plus la maîtrise de ton corps, tu ne peux que subir.

Il me faudra faire des pauses, nombreuses, car après avoir pris possession de ton esprit avec mes mots, mes mains prendront possession de ton corps. Je commencerai alors l'antique et païenne célébration de la soumission en utilisant ton corps de mille façons qu'il me plaira. Parfois effleurant ou caressant ta peau pour ensuite pénétrer ton sexe de mes doigts, délicatement. Parfois rudement et sans ménagement, je gratifierais tes fesses, ton visage et tes seins de claques, pincements et rougissements divers et variés.

Puis nous arrivons en forêt c'est la pleine lune d'Octobre, cette période de l’année si particulière, où le temps suspend son cours, alors que le passé, le présent et l’avenir se confondent et que le voile entre les mondes s'estompe, retentit dans la forêt le brâme du Cerf. Son appel sexuel rauque, grave et puissant qui déchire régulièrement l'épais silence étoilé de la nuit annonce sa pleine période de rut et celle du rituel millénaire de soumission/domination et résilience du Féminin sacré au Masculin sacré.

Je t'emmène alors nue, poignets attachés dans le dos reliés à ton collier, fermement tenue en laisse pour une marche à travers la forêt jusqu'au Grand Chêne Maître.

Le rituel commence à peine, que dès les premiers pas tu ressens l’envoûtement des éléments, des esprits, et de cette lune et de ce lieu magiques, ton identité de femme se dissous dans la nuit et la forêt, tu deviens esprit celui de la luxure du désir et du renoncement.

A chaque brâme du cerf je vois ton corps frémir, ta cambrure se creuse, tes jambes s'écartent imperceptiblement, ton cul s'ouvre, offert pour une saillie improbable. Ton allure ralentit, tes sens sont en alerte; tu ressens l'appel du Dieu Cercunnos le dieu cerf, l'appel de la forêt, tu deviens biche puis forêt. Il me faudra bien à nouveau t'entraver pour t'empêcher de fuir. Tu marcheras alors cambrée un crochet anal attaché à ta gorge, et comme cela ne suffira pas pour calmer ton excitation et t'empêcher de fuir, tes tétons et les lèvres de ton sexe seront pincées et lestées de branchettes mortes, et tu seras encouragée à avancer à coups de badine.

Au fur et à mesure de ta lente et pénible progression les branches se plantent ou se bloquent ici ou là entre les racines des arbustes et les branches basses des arbres goguenards et ravis de participer à la curée, à ton initiation et à ton éducation.

Progressivement tu entres en transes ton mental s'estompe, tu n'es plus femme, tu es femelle en chaleur, ruisselante de désir, jouet de ma perversion. Telle une funambule tu marches sur le fil du lâcher prise et de la jouissance entre plaisir extrême et douleur savamment orchestrée. Tu continueras cependant à avancer difficilement mais sûrement, esclave de ma volonté jusqu'à l'arbre Maître. J'invoquerais alors l'eau et le feu, rougissant du feu de mes impacts ton cul fontaine ouvert, offert mais tu ne seras pas encore autorisée à jouir.

Nous marcherons encore offrant le spectacle de ta soumission et de ton total lâcher-prise aux peuples de la forêt, jusqu'à ce que je puisse te libérer et faire jaillir l' eau sacrée de ton sexe, comme offrande au vieux Chêne Maître trait d'union entre la Terre et le Soleil. Ainsi nous aurons accompli le rituel ancestral et païen et renouvelé le pacte de soumission/domination de la Terre au Soleil, du féminin au Masculin Tu seras alors Reine et esclave, Déesse et chienne soumise au grand Loup Blanc, tu recevras ton nom de soumise.